Comme un concert de Taylor Swift, le sujet rassemble. A défaut de créer un club de divorcées et de brûler des bracelets en perles aux initiales de vos ex, je garde le divorce au chaud pour le 20ème épisode de Thirties. D’abord parce que cette première saison s’achève, mais aussi parce que j'évitais de me faire massacrer par un avocat.
Le crush, ou le crash de cette personne croisée dans un couloir, à la cafet, en visio ou au pot de départ de ce collègue qu'on n'aimait pas. On ne bosse pas toujours avec lui, mais il est là, présent dans cette même boîte. Merde, il est en couple et moi aussi : l'histoire de toutes les vies.
On profite d'une terrasse parisienne pour la dernière fois de l'année quand Marin rit d'une collègue arrivée en retard au bureau le matin, habillée de la même façon que la veille. Il est notre ami mais les mots qu'il emploie avec le reste de la bande nous perturbent : elle n'est pas rentrée chez elle et elle est célibataire. Sacrilège.
Kids ou pas kids, nous avons toutes cette gnaque de hot mamma. Je crois n'avoir jamais reçu autant de témoignages que pour cet épisode, et l'exercice s'est avéré plus compliqué que pour mes autres essais.
Pendant mon voyage aux US, j'ai écouté la podcasteuse TINX à peu près tous les jours et j'ai adoré sa façon d'aborder l'automne. Comme elle, je souhaite bon retour au feuillage orange, au self care, au coup de ciseaux dans mes cheveux cramés et aux jupes d'écolières. Je pimpe juste le tout d'un adieu aux cons et aux actions inutiles.
Un ras de mariées : la saison des "oui" au soleil se termine, les vacances sur la plage envahie de parasols Miko et de gros beignets échoués sur la plage aussi. Mon souci, c'est que je ne supporte plus le mot "rentrée" et que l'imprévu me pousse à choisir l'amour, le vrai, comme sujet aujourd'hui. Promis, le coeur y est.
Ou du moins, pas à la plage, ni dans l’eau salée. Début août, je prends peur en lisant une chronique du magazine The Cut. Une astrologue y partage une nouvelle marche arrière pour Mercure, et selon elle le retour des galères. Superstitieuse, je chasse l'idée de potentiels tracas pendant mon mois d'août - ce serait ingrat.
C'est l'heure, et vous savez combien vous les avez méritées. Comme une récompense pour avoir survécu à la première partie de l'année, les vacances estivales se savourent autant que l'idée d'une partie de jambes en l'air avec ce joli mec croisé dans l'avion mardi dernier.
Commencer la journée par une activité physique me rend heureuse, voire fière. Je me sens mieux dans mes baskets, je déculpabilise aussi, au risque de m'envoyer deux piscines de rosé plus tard dans la journée. On est d'accord : le sport est un vrai sujet après 30 ans.